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12 avenue du Beauvaisis - 60000 Beauvais
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Jonathan Arnal

Co-fondateur et Directeur Opérationnel

Rencontre avec Jonathan ARNAL,

Co-fondateur et Directeur Opérationnel de Nodelya

Une entreprise née d’une amitié, portée par l’humain

Lorsque Jonathan Arnal évoque la naissance de Nodelya, il ne parle pas tout de suite d’ambition, de business plan ou de conquête du marché. Il parle d’une aventure, d’une envie partagée avec Sébastien, son associé et ami de longue date. « Seb voulait qu’on monte un projet ensemble depuis des années. J’avais envie de changement, de prendre des risques. Alors on s’est lancés. »

À l’époque, il n’avait pas l’âme d’un entrepreneur au sens traditionnel du terme. « Je suis avant tout un technicien et un manager. » Ce qui l’anime, c’est le terrain, le concret, le travail bien fait. Pourtant, très vite, il doit apprendre à enfiler une autre casquette : celle du dirigeant d’une entreprise qui grandit plus vite que prévu. « Au début, on pensait créer une structure de cinq, six personnes maximum. Puis, les clients nous ont fait confiance, et les anciens collègues ou collaborateurs ont eu envie de nous rejoindre. On n’a pas mis de frein à cette dynamique. »

Moins de quatre ans après la création de l’entreprise, Nodelya compte plus de 20 collaborateurs et s’est imposée comme un acteur reconnu du secteur. Une réussite dont Jonathan est fier, mais qui n’a pas été sans défis. « Le plus difficile pour moi, c’était d’accepter que les gens qui avaient cru en ce projet allaient dépendre de moi. Je ne voulais pas les décevoir. » Un challenge qu’il a transformé en moteur, porté par une conviction forte : le bien-être des collaborateurs est la clé de la performance.

Une entreprise où la confiance fait la différence

Dès le début, Jonathan et Sébastien ont voulu bâtir une culture d’entreprise basée sur la bienveillance et la transparence. « On dit souvent que l’on peut faire des erreurs, mais il faut les assumer. Les cacher, c’est pire, elles finissent toujours par ressortir. » Chez Nodelya, la confiance est un pilier. Elle se construit au quotidien, dans le travail, mais aussi en dehors. « On aime faire la fête chez Nodelya ! Mais plus sérieusement, ces moments sont essentiels pour garder une vraie cohésion d’équipe, c’est notre ADN. »

Ce sens du collectif, il l’a cultivé dès les premières années de l’entreprise. Un souvenir lui revient en tête : celui des cinq chantiers qu’il a dû reprendre en urgence suite à un changement de maitrise d’œuvre en cours de chantier par le maitre d’ouvrage. « On ne savait pas trop par quel bout les prendre, c’était un travail de titan. Mais on avait la niaque et l’envie de bien faire. On s’est retroussé les manches, et au final, on a redressé la situation avec la satisfaction du client. Aujourd’hui encore, il nous fait confiance ». Cette satisfaction client, il la place au même niveau que celle des collaborateurs. Pour lui, l’un ne va pas sans l’autre.

« Quand les équipes se sentent bien, ça se reflète naturellement dans leur travail. Et quand un client est satisfait, c’est toute l’équipe qui en tire de la fierté. »

Un avenir sans limites

Aujourd’hui, Jonathan et Sébastien ne se fixent plus de barrière. « On a encore de belles années devant nous. À partir de janvier 2025, on veut développer notre présence dans le nord de l’Île-de-France. On ne se fixe pas de limite. » Il le dit avec une simplicité déconcertante, mais derrière ces mots se cache une vision claire : faire de Nodelya un acteur incontournable au niveau local et régional.

Ce qui le motive le plus dans ce rôle de dirigeant ? Les relations humaines. « Chaque journée est différente. Les échanges avec les collaborateurs, les maîtres d’ouvrage, les architectes… C’est ça qui me plaît. » Plus que les chiffres ou la gestion, c’est cette dynamique humaine qui nourrit son engagement.

Entrepreneur, voyageur et sportif

Si son quotidien est rythmé par les projets et le management, Jonathan sait aussi s’accorder des moments pour lui. « J’adore voyager avec ma famille. C’est ma façon de me ressourcer, de voir autre chose. » L’évasion, pour lui, est essentielle. C’est un équilibre qui lui permet de mieux revenir dans son rôle de dirigeant.

Il trouve aussi cette énergie dans le sport. « Je joue au tennis depuis longtemps, et récemment, mes collègues m’ont convaincu de me mettre à la course à pied. » Une pratique qui, comme l’entrepreneuriat, demande persévérance et discipline.

Côté inspiration, il admire particulièrement Bernard Tapie, entrepreneur aux multiples facettes. « Il a réussi à développer plusieurs business différents (la vente, le sport, la finance, le spectacle…)  à différente phases (création, rachat avant faillite, rachat en plein expansion…). Il est tombé plusieurs fois mais il s’est toujours relevé. Moi, si ICECS HDF avait été un échec, je ne suis pas sûr que j’aurais eu la force de recommencer ! » Un aveu sincère, qui en dit long sur son attachement à Nodelya et sur l’importance de son parcours.

« Tout est possible tant qu’on s’en donne les moyens… »

Si Jonathan devait se projeter dans l’avenir, il ne parlerait pas uniquement de business. Il a un rêve plus personnel : monter un projet familial avec ses filles. « Elles sont encore jeunes, mais j’aimerais construire quelque chose avec elles, dans un domaine où elles seraient épanouies. »

Et quand on lui demande un conseil pour ceux qui voudraient suivre une voie similaire, sa réponse est simple mais percutante : « Tout est possible tant qu’on s’en donne les moyens. Mais surtout, ne jamais essayer quelque chose seul. On va toujours plus vite et plus loin à plusieurs. »

Chez Nodelya, cette philosophie est plus qu’une maxime : c’est une réalité vécue au quotidien. Une aventure collective, où la réussite se construit ensemble, avec bienveillance et ambition.

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